Bonus
du livre L'Homme qui rêvait
Annexes de l'album n° PJ2011DJXDF586
Dans le jargon policier, « l’album » désigne le dossier d’une affaire criminelle tenu par le procédurier.
Découvrez ici quelques suppléments et pistes bibliographiques pour compléter votre réflexion autour de L'Homme qui rêvait.
Au chapitre 14 du tome 1, Aristote, j’utilise une histoire racontée par Jean-Charles Léonard Simonde de Sismondi (1773-1842) dans son Étude sur l’économie politique (1837), « Amadis et le balai magique », pour expliquer le mythe de la croissance exponentielle.
Au chapitre 8 du tome 1, Aristote, l'inspectrice Amanda Coron assiste pour les besoins de l’enquête à une représentation de Robinson et les désillusions au Théâtre de l’Opinion. Il s’agit d’une courte pièce de théâtre adaptée de la fameuse « Robinsonade » de Silvio Gesell.
« L’économie de l’offre est aux sciences sociales ce que la philosophie allemande est à l’histoire des idées, mademoiselle SAVAH : une pensée pure, refermée sur elle-même, qui se plaît en tourner en rond, une métaphysique. »
Sénateur Aristote
Autre grand oublié des manuels officiels des idées politiques, l’inventeur du socialisme utopique. Peut-être, parce qu’il fût un… grand patron étranger. Double circonstance aggravante pour certains, sans aucun doute.
Rencontre avec Silvio Gesell, celui qui voulait « faire disparaître le capitalisme financier. C’est-à-dire la possibilité, pour celui qui détient des capitaux, de s’enrichir en dormant. » (Clerc & Finckh, 1998)
« Dans Constantinople assiégée par les Turcs, scolastiques et courtisans en recherche de raison disputaient du sexe des anges pour conjurer le mauvais sort ; aujourd’hui, alors que le monde s’ébranle sous les chocs de plus en plus violents des crises à répétition, stochastiques et politiques en mal de raison persistent dans leur vénération de l’Aléa. »
Sénateur Aristote